Réalisateur | William Thorp |
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Cet été, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), rendait ses conclusions sur l’évaluation des risques associés au glyphosate, et disait étonnamment ne pas avoir identifié de « domaine de préoccupation critique » pour la santé humaine.
Mercredi 20 septembre, c’était au tour de la Commission européenne de proposer de renouveler l’autorisation du glyphosate au sein de l’Union européenne pour dix ans.
Alors même que le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) considère depuis 2015 le glyphosate comme « cancérogène probable » tandis que l’Institut national de la santé et de la recherche médicale met en avant des indices convergents de génotoxicité, de cancérogénicité, de reprotoxicité et d’effets épigénétiques.
Pour Vakita, William Thorp en a discuté avec Laurence Huc, toxicologue et directrice de recherche à l’Institut national de la recherche agronomique.
Cet été, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), rendait ses conclusions sur l’évaluation des risques associés au glyphosate, et disait étonnamment ne pas avoir identifié de « domaine de préoccupation critique » pour la santé humaine.
Mercredi 20 septembre, c’était au tour de la Commission européenne de proposer de renouveler l’autorisation du glyphosate au sein de l’Union européenne pour dix ans.
Alors même que le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) considère depuis 2015 le glyphosate comme « cancérogène probable » tandis que l’Institut national de la santé et de la recherche médicale met en avant des indices convergents de génotoxicité, de cancérogénicité, de reprotoxicité et d’effets épigénétiques.
Pour Vakita, William Thorp en a discuté avec Laurence Huc, toxicologue et directrice de recherche à l’Institut national de la recherche agronomique.
Glyphosate : dix ans de rab