Réalisateur | Allan Henry |
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Lui, c’est Georges, artiste sculpteur et tétraplégique depuis son adolescence. Elle, c’est Danae. Après avoir eu une vie cabossée, elle a décidé de devenir accompagnante sexuelle.
Pour faire appel à Danae, Georges est passé par l’Association Pour la Promotion de l’Accompagnement Sexuel (l’APPAS), c’est là que Danae y a effectué sa formation. Contre une rémunération de 150 euros, Danae se rend en banlieue parisienne chez Georges environ une fois par mois, le temps d’un après-midi.
Le but de leur rencontre ? Avoir un rapport affectif, physique et sexuel afin que "Georges retrouve confiance en lui", selon ses mots à elle. En France, la pratique de l’assistance sexuelle n’est pas encadrée par la loi. Elle est donc assimilée à de la prostitution et Georges encourt donc en tant que "client" une amende de 1500 euros.
Si Georges et Danae ont accepté de laisser notre équipe filmer ces moments d’intimité, c’est pour dénoncer cette situation qu’ils jugent "aberrante". Et pour qu’il y ait enfin en France une loi qui encadre cette pratique comme c’est déjà le cas en Suisse, en Belgique, au Danemark ou au Pays-Bas.
Lui, c’est Georges, artiste sculpteur et tétraplégique depuis son adolescence. Elle, c’est Danae. Après avoir eu une vie cabossée, elle a décidé de devenir accompagnante sexuelle.
Pour faire appel à Danae, Georges est passé par l’Association Pour la Promotion de l’Accompagnement Sexuel (l’APPAS), c’est là que Danae y a effectué sa formation. Contre une rémunération de 150 euros, Danae se rend en banlieue parisienne chez Georges environ une fois par mois, le temps d’un après-midi.
Le but de leur rencontre ? Avoir un rapport affectif, physique et sexuel afin que "Georges retrouve confiance en lui", selon ses mots à elle. En France, la pratique de l’assistance sexuelle n’est pas encadrée par la loi. Elle est donc assimilée à de la prostitution et Georges encourt donc en tant que "client" une amende de 1500 euros.
Si Georges et Danae ont accepté de laisser notre équipe filmer ces moments d’intimité, c’est pour dénoncer cette situation qu’ils jugent "aberrante". Et pour qu’il y ait enfin en France une loi qui encadre cette pratique comme c’est déjà le cas en Suisse, en Belgique, au Danemark ou au Pays-Bas.
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