Engagés contre les rixes
Réalisateur | Ambrine Bdida |
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Comment tenter d’apaiser le deuil lorsqu’on a perdu un fils, un frère, un cousin dans un règlement de compte ? C’est ce que tente de faire Amine Kessaci, 18 ans, lui-même endeuillé par la mort de son frère en 2020, avec son association Conscience. Nous l’avons suivi lors d’une semaine de vacances organisée pour les familles dans la même situation que lui à Menglon, dans la Drôme. L’occasion pour ces mères de se changer les idées, mais aussi de partager leur vécu sans se sentir jugées.
L'action d'Ambrine :
Amine Kessaci a 18 ans, et malgré son jeune âge il réussit à changer la vie des quartiers. En 2020, il a perdu son frère Brahim lors d’un règlement de compte. Ce drame l’a poussé à créer l’association Conscience, avec laquelle il souhaite venir en aide aux familles de victimes de rixes mais aussi aux jeunes. Créée à Marseille, l’association compte aujourd’hui 14 antennes dans toute la France, et si on a choisi de mettre en avant son histoire, c’est pour l’aider à trouver des bénévoles prêts à l’accompagner dans son combat.
Comment tenter d’apaiser le deuil lorsqu’on a perdu un fils, un frère, un cousin dans un règlement de compte ? C’est ce que tente de faire Amine Kessaci, 18 ans, lui-même endeuillé par la mort de son frère en 2020, avec son association Conscience. Nous l’avons suivi lors d’une semaine de vacances organisée pour les familles dans la même situation que lui à Menglon, dans la Drôme. L’occasion pour ces mères de se changer les idées, mais aussi de partager leur vécu sans se sentir jugées.
L'action d'Ambrine :
Amine Kessaci a 18 ans, et malgré son jeune âge il réussit à changer la vie des quartiers. En 2020, il a perdu son frère Brahim lors d’un règlement de compte. Ce drame l’a poussé à créer l’association Conscience, avec laquelle il souhaite venir en aide aux familles de victimes de rixes mais aussi aux jeunes. Créée à Marseille, l’association compte aujourd’hui 14 antennes dans toute la France, et si on a choisi de mettre en avant son histoire, c’est pour l’aider à trouver des bénévoles prêts à l’accompagner dans son combat.
L'espoir des quartiers