300 jeunes exilés dorment dans des locaux insalubres
Réalisateur | Marie Lecoq |
Partager sur |
Depuis le 4 avril, 300 jeunes exilés, dont de nombreux mineurs, dorment dans les locaux insalubres d’une école désaffectée du 16ème arrondissement de Paris.
Il s’agit souvent d’adolescents venus du Mali, de Guinée, ou encore de Côte d’Ivoire.
Ils ont pour la plupart entre 14 et 17 ans et ont délaissé les rues de Paris dans lesquelles ils dormaient pour venir occuper cette école abandonnée.
Pour obtenir un suivi régulier : la reconnaissance de minorité, qui ouvre droit à l’aide sociale à l’enfance (ASE). Mais les jeunes que nous avons rencontrés ont vu leur demande refusée par les autorités.
Parmi les mineurs hébergés dans l’école, nous avons rencontré Ibrahima. Il est né en Guinée, le 12 avril 2007. A peine âgé de 16 ans, Ibrahima nous raconte son histoire, et la zone grise dans laquelle il se situe, où l’Etat ne le prend pas en charge.
Aujourd’hui, les associations réclament leur prise en charge immédiate dans des structures adaptées.
Depuis le 4 avril, 300 jeunes exilés, dont de nombreux mineurs, dorment dans les locaux insalubres d’une école désaffectée du 16ème arrondissement de Paris.
Il s’agit souvent d’adolescents venus du Mali, de Guinée, ou encore de Côte d’Ivoire.
Ils ont pour la plupart entre 14 et 17 ans et ont délaissé les rues de Paris dans lesquelles ils dormaient pour venir occuper cette école abandonnée.
Pour obtenir un suivi régulier : la reconnaissance de minorité, qui ouvre droit à l’aide sociale à l’enfance (ASE). Mais les jeunes que nous avons rencontrés ont vu leur demande refusée par les autorités.
Parmi les mineurs hébergés dans l’école, nous avons rencontré Ibrahima. Il est né en Guinée, le 12 avril 2007. A peine âgé de 16 ans, Ibrahima nous raconte son histoire, et la zone grise dans laquelle il se situe, où l’Etat ne le prend pas en charge.
Aujourd’hui, les associations réclament leur prise en charge immédiate dans des structures adaptées.
La vie de mineurs isolés dans une école aband...