La culture du sapin pointée du doigt dans une étude
Réalisateur | Marie Lecoq |
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Derrière l'image d'Épinal du sapin qui pousserait naturellement en forêt, se cache en réalité une monoculture intensive pratiquée dans des champs. Un sapin peut recevoir jusqu'à 10 traitements phytosanitaires par an, jusqu'à ce qu'il soit vendu, 6 à 10 ans plus tard.
À l'occasion des fêtes de fin d'année, l'association Agir pour l'Environnement a analysé 17 sapins de Noël, achetés dans plusieurs commerces en France : 13 sapins conventionnels et 4 labellisés bio. Et le résultat est sans appel : sur les 13 sapins conventionnels, 11 contiennent des traces de produits phytosanitaires, dont l'herbicide controversé glyphosate. Les sapins bio, quant à eux, ne présentent aucune trace de pesticides.
Marie Lecoq a rencontré le directeur de l'association Agir pour l'Environnement pour expliquer le contenu de cette étude.
Derrière l'image d'Épinal du sapin qui pousserait naturellement en forêt, se cache en réalité une monoculture intensive pratiquée dans des champs. Un sapin peut recevoir jusqu'à 10 traitements phytosanitaires par an, jusqu'à ce qu'il soit vendu, 6 à 10 ans plus tard.
À l'occasion des fêtes de fin d'année, l'association Agir pour l'Environnement a analysé 17 sapins de Noël, achetés dans plusieurs commerces en France : 13 sapins conventionnels et 4 labellisés bio. Et le résultat est sans appel : sur les 13 sapins conventionnels, 11 contiennent des traces de produits phytosanitaires, dont l'herbicide controversé glyphosate. Les sapins bio, quant à eux, ne présentent aucune trace de pesticides.
Marie Lecoq a rencontré le directeur de l'association Agir pour l'Environnement pour expliquer le contenu de cette étude.
Des pesticides dans nos sapins de Noël