Réalisateur | Ambrine Bdida |
Partager sur |
Elle s’appelait Karine Esquivillon. Elle avait 54 ans, était mère de 5 enfants. Le 16 juin, son mari a avoué l’avoir tuée, près de 3 mois après sa disparition.
Chaque année en France, ce sont 125 femmes qui meurent sous les coups de leur compagnon ou ex compagnon. Dans 125 et des milliers, l’auteure Sarah Barukh raconte les violences qu’elle a subies, comment elle s’en est sortie et a choisi de donner un visage aux victimes de féminicides. 125 histoires de femmes qui ne sont plus là, racontées par 125 personnalités.
Chez Vakita, on a choisi de vous proposer quelques extraits de cet ouvrage en lecture.
Pour aller plus loin, Sarah Barukh a créé une association : 125 et après. Et pour l’aider à lutter contre les violences faites aux femmes, c’est par là.
Elle s’appelait Karine Esquivillon. Elle avait 54 ans, était mère de 5 enfants. Le 16 juin, son mari a avoué l’avoir tuée, près de 3 mois après sa disparition.
Chaque année en France, ce sont 125 femmes qui meurent sous les coups de leur compagnon ou ex compagnon. Dans 125 et des milliers, l’auteure Sarah Barukh raconte les violences qu’elle a subies, comment elle s’en est sortie et a choisi de donner un visage aux victimes de féminicides. 125 histoires de femmes qui ne sont plus là, racontées par 125 personnalités.
Chez Vakita, on a choisi de vous proposer quelques extraits de cet ouvrage en lecture.
Pour aller plus loin, Sarah Barukh a créé une association : 125 et après. Et pour l’aider à lutter contre les violences faites aux femmes, c’est par là.
Féminicides : 125 et des milliers
Féminicides : comment lutter