Réalisateur | Marie Lecoq |
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Des jardins familiaux et des terres agricoles détruits et remplacés par du béton pour créer un « éco-quartier ». C’est ce qui risque de se passer dans les jardins de la Sagne, à Gruissan, une commune près de Narbonne. Là-bas, la mairie prévoit de bâtir 730 logements à la place de 32 hectares de poumon vert, avec des arbres, des potagers, une nappe phréatique et une quarantaine d’espèces qui y trouvent refuge. Des habitants aussi sont menacés d’être expropriés…
C’est le cas de Josette. A 89 ans, c’est la doyenne de la Sagne. Elle est très attachée à son jardin puisqu’il appartient à sa famille depuis plusieurs générations. Elle y a passé toute sa vie et elle refuse de le voir sacrifié au profit du béton.
Le Conseil national de la protection de la nature (CNPN) a émis un avis défavorable compte tenu de l’impact d’un tel projet sur des populations d’espèces protégées.
N’hésitez pas à participer à l’enquête publique en ligne jusqu’au 18 octobre pour dire « non » à l’expropriation de Josette et des autres propriétaires des jardins de la Sagne.
Des jardins familiaux et des terres agricoles détruits et remplacés par du béton pour créer un « éco-quartier ». C’est ce qui risque de se passer dans les jardins de la Sagne, à Gruissan, une commune près de Narbonne. Là-bas, la mairie prévoit de bâtir 730 logements à la place de 32 hectares de poumon vert, avec des arbres, des potagers, une nappe phréatique et une quarantaine d’espèces qui y trouvent refuge. Des habitants aussi sont menacés d’être expropriés…
C’est le cas de Josette. A 89 ans, c’est la doyenne de la Sagne. Elle est très attachée à son jardin puisqu’il appartient à sa famille depuis plusieurs générations. Elle y a passé toute sa vie et elle refuse de le voir sacrifié au profit du béton.
Le Conseil national de la protection de la nature (CNPN) a émis un avis défavorable compte tenu de l’impact d’un tel projet sur des populations d’espèces protégées.
N’hésitez pas à participer à l’enquête publique en ligne jusqu’au 18 octobre pour dire « non » à l’expropriation de Josette et des autres propriétaires des jardins de la Sagne.
Au nom du béton : Josette, 89 ans, menacée d'...